Une métamorphose ? Quelle métamorphose ?

Par ces temps de pandémie, les polémiques vont bon train. La tentation d'y plonger est parfois grande. Surtout lorsque j'entends ce qui m'apparaît comme des aberrations. Finalement, je préfère prendre du recul et m'envoler dans l'espace -temps... Car ma conviction profonde, et celle-là, nulle émission, nul débat ne peuvent la changer, c’est que « quelle que soit la source terrestre de notre situation présente, l’important est la situation elle-même, et non sa cause qui, au final, remonte à l’origine des origines… conscience du Cosmos ? »

Notre situation fait partie intégrante d’un gigantesque mouvement d’évolution dont notre petite planète Terre au sein du cortège du système solaire, sont les objets. Notre civilisation était posée sur une branche que nous étions en train de scier aveuglément… Parce que nous sommes aveugles… Cela change doucement, mais il faut du temps, le temps d’une métamorphose… 

Les sages, eux savent, les étoiles et les planètes aussi, le cosmos évidemment aussi. 

Quelques rares scientifiques aussi (très rares) et de cela nous reparlerons justement dans la prochaine gazette...

Moi, je ne fais que transmettre l’histoire d’Alcyone… car elle me semble expliquer toute l’histoire de l’humanité, carrément.

Petit rappel : Alcyone, vous savez le grand soleil autour duquel notre petit système solaire tourne selon une méga éllipse de 25920 ans… ça y est ? vous y êtes ? je vous bassine avec cette histoire depuis que je l’ai découverte par la vidéo de Sadh Guru (visible ici en version réduite si le cœur vous en dit ) car tout ce que nous vivons y trouve une explication cohérente.

Sadh Guru parle de cela à partir de la 13ème minute environ. Ici un schéma extrait de cette vidéo :

Nous sommes sortis du ‘Kali yuga’ et bientôt du ‘Dwapara yuga’ (plus que 62 ans…). Ce sont des ères de profonde ignorance où nous sommes collés à nos egos. Car l’énergie dominante est lourde, matérielle, individualiste et donc conflictuelle, à cause de l’éloignement d’Alcyone (niveau d'éther faible).

Cependant nous approchons du ‘Treta yuga’ (plus que 62 ans) puis ensuite du ‘Sat yuga’. Notre distance à Alcyone diminuant, le niveau d’éther augmentera de plus en plus, causant la dissolution du voile des egos : le niveau des consciences montera et nous permettra, à tous, de capter ce qui pour le moment encore reste imperceptible à la majorité : le fait que nous soyons UN, et tous connectés et interdépendants.

C’est donc la mutation, ou métamorphose d’une humanité « chenille » en humanité « papillon »

Mais nous ne sommes pas encore papillons ! Loin s’en faut ! Cependant nous sommes exactement dans la métamorphose. Et comme chacun le sait, toute métamorphose est douloureuse, pénible, occasionne des violences et des morts.

Alors je veux rejoindre cette femme des Andes, madame Antocal Nesdi, guide spirituel, et tant d’autres êtres qui, conscients du phénomène cosmique qui secoue notre petite planète, plutôt que de se jeter dans la mêlée de « qui a fait quoi », et « tu vas me le payer bon sang »… simplement observent et envoient des vibrations d’amour, de compassion, de conscience…

Une façon d’aider qui peut paraître à certains assez facile ou indifférente, distante, ou propre à celui qui ne se mouille pas ou je ne sais quoi encore… Cependant, je pense qu’il est aussi louable de rester « en dehors » du combat qui fait rage alors que nos proches peut-être périssent dans la bataille... que de se jeter au dedans corps et âmes... au final pour quoi ?

Et puis d'ailleurs peu importe, il n’y a rien à comparer. L’important est juste de se sentir à sa place dans cette tourmente planétaire. Chacun fait ce qu’il sent qu’il doit faire. Simplement.

Alors ma place, je la garde, c’est partager les outils et les bienfaits du yoga, qui permettent précisément, de vivre de tels événements d’une façon la plus sereine possible en préservant notre énergie. Car nous en aurons drastiquement besoin !

C’est aussi chanter des mantras, envoyer de l'énergie d'amour pour tous ceux qui sont impliqués dans le marasme, de quelque bord qu’ils se trouvent, car au final, nous sommes tous UN et l'autre n'est autre que moi-même, mon miroir…